Hello,
Ce dimanche je retrouvais mon camarade Michel pour une nouvelle partie de King of War. Même armées, mais cette fois, on inverse les rôles.
J'ai donc les romains avec 3 hordes de légionnaires, 2 régiments de velites, 2 balistes, 1 régiment de triarii, 1 troupe de cavaliers, 2 centurions, César, porte aigle.
En face, toujours 2 phalanges, 1 horde de galates, 2 chars à faux, 1 régiment de compagnons, 1 éléphant, 1 régiment de compagnons monté, 2 troupes de frondeurs, 1 général, 2 porte étendards.
Un char à faux en moins ça fera du bien.
Mais bon, la réponse fait mal
tout comme le babar
mes légionnaires doivent reculer et les vélites s'occupent sans trop de succès du babar
il faut dire que cette fois, les dés ne me sont pas favorables.
et l'ennemi est vindicatif.
je tiens comme je peux
et j'attaque les flancs avec ma cavalerie et mes triarii
Bilan : J'ai fait quelques bon placements, mais aussi quelques erreurs qui m'ont coûté cher. Je suis quand même assez content d'avoir réussit à bloquer la phalange de droite assez longtemps pour ne pas être écrasé plus tôt.
Après avoir joué les deux camps, je me rend compte de la puissance des diadoques. Les hordes de compagnons sont redoutables au corps à corps et les légions paraissent soudain un peu fragile. à chaque attaque des phalanges, c'était 8 à 10 blessures, de quoi détruire les hordes romaines en 2 tours.
Michel me propose alors de tester une deuxième compo romaine où les trois hordes romaines sont remplacés par 2 régiments de principes et 2 d'hastatii et 1 baliste supplémentaire.
Ayant trouvé les romains plus légers que les diadoques, remplacer les hordes par des régiments n'est pas pour me rassurer. Je choisis donc de me placer en fond de table pour profiter des balistes.
Mon adversaire commence
les deux unités sont massacrées et alors que mes troupes de replient sur le flanc gauche, je laisse les balistes retarder l'ennemi.
Si mon flanc droit est totalement écrasé, ça me permet une nouvelle fois de mettre les phalanges ennemies dans des positions où elle ne peuvent pas combattre.
Et par chance, mes unités tiennent beaucoup mieux qu'espéré (je les voyais sauter dès la première charge).
l'éléphant, me pose toujours problème, mais je réussis à grignoter l'es troupes ennemies au fur et à mesure
et pour ça je suis bien obligé de sacrifier quelques troupes tout en plaçant le mieux possibles mes officiers.
finalement je reprends du poil de la bête.
et au dernier tour, je charge avec tout ce que je peux éliminant uniquement les compagnons à pieds.
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