Divergences religieuses.

 Hello, 

Ce dimanche, je retrouvais Michel et David pour une nouvelle partie de Duels. Oui, on est relancé sur ce jeu où l'on rigole bien et qui ne demande pas de préparation. 

Mais avant, je dois vous avouer que je suis passé sur le blog montrer Monster year one Zone war à un collègue et à mon grand étonnement je vois un chiffre impressionnant : 259!!! Deux cent cinquante neuf rapports de bataille sur le blog et si je pense à toutes les parties que je n'ai pas documenté je pourrais être à beaucoup plus. J'en profite pour regarder l'age du blog et je m'aperçois que j'ai loupé l'anniversaire des 10 ans d'existence et fin d'année dernière. Je suis impressionné par ma capacité à fournir du contenu. Bon, pour les vues (168K), je suis loin du temple de Morikun qui fête ses deux millions de vues, mais je m'en fout, le blog est vivant et c'est ce qui compte. 

Repartons sur notre deux cent soixantième aventure sur une table de wargame avec figurines. Cette fois nous devons récupérer des otages (nous pouvons nous déplacer avec les butins). Si des paysans sont tués, un spectre vengeur les remplacent et attaque. Enfin, nous avons une mission secrète.

Michel déploie en premier sa bande d'inquisiteurs à gauche de la table. David à choisit la chevauchée dieux est mon roy et joue donc un ordre religieux de retour de terre sainte. Il se déploie à droite pour profiter de sa mission l'obligeant à tuer le seigneur de la bande se déployant en face. J'ai choisi la bande d'hérétique (des cathares) et ma mission me demande d'éliminer tous les paysans (pas facile). Mon problème dans mon placement est e me retrouver entre deux adversaires. D'un côté je manque de protection contre les arbalétriers des deux camps, de l'autre, je dois contourner deux maisons pour atteindre les objectifs, mais je suis protégé de David. Je choisi cette option

Michel s'est stratégiquement déployé le long de la route, en embuscade pour contrer mon avancée.

Les otages sont loin et protégé par des paysans.

J'essaie donc d'avancer groupé. mais les inquisiteurs se lance à l'assaut. j'ai aussi un cavalier berbere qui s'est lancé à l'assaut d'un éclaireur qu'il élimine au prix de lourde blessures.

Mon capitaine tombe au premier combat, les dés ne sont pas de mon côté, le reste de la partie va être compliqué. 

David avance en éliminant les paysans. Je suis plutôt content de ne pas être sur son chemin.

Galvanisé par sa victoire sur mon capitaine, le capitaine de Michel se lance à l'assaut de mon seigneur. après d'âpres combat, il est vaincu.

Mais son seigneur vient prendre la relève. J'ai déjà perdu la moitié de ma troupe et je peine à ramener le cavalier berbère pour soutenir mon seigneur. 

David, après avoir soigné mon prêtre, me vol mon seul otage.

Et après une longue course se place enfin pour affronter Michel.

Les passes d'armes s'enchainent et le seigneur de Michel se montre plus doué. il désarçonne le mien puis le tue. Fin de partie pour moi. 

les ordres se préparent à l'assaut

N'ayant plus rien à perdre, les troupes de David écharpent quelques paysans et se retrouvent jetés à l'eau par le spectre. Ca devient une habitude.

de l'autre côté, les seigneurs survivant s'affronte. au premier qui cèdera. Et c'est un arbalétrier qui balançant son arme dans la tête du seigneur de Michel apporte la victoire à David. Vraiment le PV de la honte. 

Le terrain était très compliqué. Si David et moi avions placé des otages et des paysans de manière excentré, Michel avait placé les siens de manière à verrouillé le centre et obtenir rapidement deux à trois otages. David à réellement commencé a inquiéter Michel à partir du troisième tour. De mon côté mon placement m'a évité d'affronter David, mais je me suis retrouvé pris en embuscade par Michel (c'est bien des manières de faire de l'inquisition) et mes jets de dés n'ont pas réussit à me sauver. Avec mes jets de dés de cette partie, pas sûr que je finisse le premier tour si j'avais choisi l'autre bord de table. Une partie trop compliquée et je n'ai même pas la satisfaction que les paysans soient tous morts.